Qui suis-je ?

Je suis née dans une famille où les mains étaient toujours en action pour donner naissance à de multiples choses. Du berceau de poupée à la table du salon, de la lampe au kayak… On avait besoin d’un objet ? On le fabriquait ! On avait l’œil avisé, toujours prêt à récupérer une planche, un vieux meuble ou un bout de tissu délaissé pour le transformer en objet désiré. Je me suis emparée avec délices de cette possibilité de manipuler les matières. Je vivais comblée au milieu de tous ces trésors.

En grandissant, je me suis éloignée des objets pour devenir professeure des écoles. J’aimais transmettre mes connaissances et aider les enfants à découvrir ce dont ils étaient capables. Leur donner confiance en leurs compétences. Je travaillais avec l’humain, ça avait du sens, mais mes mains s’ennuyaient.

Je suis née dans une famille où les mains étaient toujours en action pour donner naissance à de multiples choses. Du berceau de poupée à la table du salon, de la lampe au kayak… On avait besoin d’un objet ? On le fabriquait ! On avait l’œil avisé, toujours prêt à récupérer une planche, un vieux meuble ou un bout de tissu délaissé pour le transformer en objet désiré. Je me suis emparée avec délices de cette possibilité de manipuler les matières. Je vivais comblée au milieu de tous ces trésors.

En grandissant, je me suis éloignée des objets pour devenir professeure des écoles. J’aimais transmettre mes connaissances et aider les enfants à découvrir ce dont ils étaient capables. Leur donner confiance en leurs compétences. Je travaillais avec l’humain, ça avait du sens, mais mes mains s’ennuyaient.

les mains épibglent le patron sur le tissu

Les mains à l’oeuvre

C’est le décès de ma grand-mère qui m’a décidé à quitter l’enseignement. Je repensais aux moments passés avec elle et je me suis revue devant sa vieille machine en fonte. Mes mains ressentent encore son poids quand il fallait la porter et l‘installer sur la table du salon.
Elle m’avait transmis le goût de la couture, je devais en faire mon métier. 

Je suis donc retournée sur les bancs de l’école pour me former au métier de couturière. J’ai commencé par travailler en industrie textile où j’assemblais des vêtements haut de gamme. J’en ai tout d’abord éprouvé de la satisfaction, je travaillais de mes mains et j’étais compétente. Mais le mode de production industrielle a rapidement heurté mes valeurs. Une organisation chronométrée, des personnes qui travaillent en silence pour ne pas perdre des secondes de rentabilité. J’avais perdu l’humain… 

C’est le décès de ma grand-mère qui m’a décidé à quitter l’enseignement. Je repensais aux moments passés avec elle et je me suis revue devant sa vieille machine en fonte. Mes mains ressentent encore son poids quand il fallait la porter et l‘installer sur la table du salon.
Elle m’avait transmis le goût de la couture, je devais en faire mon métier. 

Je suis donc retournée sur les bancs de l’école pour me former au métier de couturière. J’ai commencé par travailler en industrie textile où j’assemblais des vêtements haut de gamme. J’en ai tout d’abord éprouvé de la satisfaction, je travaillais de mes mains et j’étais compétente. Mais le mode de production industrielle a rapidement heurté mes valeurs. Une organisation chronométrée, des personnes qui travaillent en silence pour ne pas perdre des secondes de rentabilité. J’avais perdu l’humain… 

En accord avec soi-même

C’est ainsi que j’ai choisi de créer mon entreprise Emma Bo. Afin d’y réunir ce qui compte le plus pour moi : les mains et l’humain.

Aujourd’hui, j’ai trouvé un équilibre dans mon travail. Mes mains sont en action pour réaliser vos retouches et autres projets en confection.

Et pour l’humain ? Les cours de couture bien sûr ! C’est avec plaisir et passion que je vous accompagne dans tous vos projets

Emmanuelle Boëffard à sa machine à coudre